Comment transmettre sa passion pour un texte ? François Gremaud met en scène la comédie Phèdre ! Un monologue joyeux et interactif d’après la tragédie Phèdre de Racine.
Comment transmettre sa passion pour un texte ? François Gremaud met en scène la comédie Phèdre ! Un monologue joyeux et interactif d’après la tragédie Phèdre de Racine.
Comment transmettre sa passion pour un texte ? François Gremaud met en scène la comédie Phèdre ! Un monologue joyeux et interactif d’après la tragédie Phèdre de Racine.
Une oratrice, interprétée par la danseuse Samantha van Wissen, prétextant parler de la pièce dont vous lisez actuellement le synopsis, finit par raconter et interpréter le ballet Giselle, d’après le livret de Théophile Gautier, la musique d’Adolphe Adam et la chorégraphie originale de Jean Coralli et Jules Perrot.
Dans un espace nu à l’exception de deux enceintes, les acteurs n’apparaissent plus qu’à travers quelques lettres blanches qui défilent fort modestement, qui racontent et commentent la fabrication de la pièce en train de se faire.
Mémoires des cendres invite à déambuler au milieu de plusieurs œuvres sonores, filmiques et visuelles d’Abdessamad El Montassir. L'artiste nous plonge dans les poésies, les récits et les paysages du Sahara au sud du Maroc, où l'artiste a grandi.
Conférence de choses est une déambulation au cœur du savoir encyclopédique participatif contemporain, révélant à la fois les vastes étendues qu’il recouvre et quelques-uns des improbables chemins qui le traversent.
Sisypholia est une performance en extérieur qui consiste à évoquer une figure mythologique dans des espaces de consommation urbains afin de créer une perturbation poétique dans un mouvement commercial.
Conférence-manifeste, Aller sans savoir où est un écrit sur le théâtre écrit pour le théâtre, un spectacle sur une manière d’écrire des spectacles, une « conférence sur l’acte créatif, phagocytée par l’urgence du monde, un journal de création dont les pages – en creux – disent, aussi, la vie qui passe ».
Performance / Pays-Bas Devenir statique, immobile, comme par surprise. Devenir incapable d’agir ou de parler. Arrêter le mouvement, pour arrêter le progrès. Conserver. Quand nous arrêtons de bouger, nous préservons. Lorsque nous nous arrêtons, tout le reste semble se déplacer à un rythme plus rapide autour de nous… Enfant, Nick Steur équilibrait des pierres les...
Dans A piece of 2 – balancing human sized rocks, Nick Steur performe 6 heures par jour pendant 4 jours. Grâce à la seule force de son corps et sans outil électrique, il révèle les forces de la nature en équilibrant des rochers avec une précision minutieuse.
Mémoires des cendres invite à déambuler au milieu de plusieurs œuvres sonores, filmiques et visuelles d’Abdessamad El Montassir. L'artiste nous plonge dans les poésies, les récits et les paysages du Sahara au sud du Maroc, où l'artiste a grandi.
Mémoires des cendres invite à déambuler au milieu de plusieurs œuvres sonores, filmiques et visuelles d’Abdessamad El Montassir. L'artiste nous plonge dans les poésies, les récits et les paysages du Sahara au sud du Maroc, où l'artiste a grandi.
Conférence-manifeste, Aller sans savoir où est un écrit sur le théâtre écrit pour le théâtre, un spectacle sur une manière d’écrire des spectacles, une « conférence sur l’acte créatif, phagocytée par l’urgence du monde, un journal de création dont les pages – en creux – disent, aussi, la vie qui passe ».
Conférence-manifeste, Aller sans savoir où est un écrit sur le théâtre écrit pour le théâtre, un spectacle sur une manière d’écrire des spectacles, une « conférence sur l’acte créatif, phagocytée par l’urgence du monde, un journal de création dont les pages – en creux – disent, aussi, la vie qui passe ».
Mémoires des cendres invite à déambuler au milieu de plusieurs œuvres sonores, filmiques et visuelles d’Abdessamad El Montassir. L'artiste nous plonge dans les poésies, les récits et les paysages du Sahara au sud du Maroc, où l'artiste a grandi.
Mémoires des cendres invite à déambuler au milieu de plusieurs œuvres sonores, filmiques et visuelles d’Abdessamad El Montassir. L'artiste nous plonge dans les poésies, les récits et les paysages du Sahara au sud du Maroc, où l'artiste a grandi.
Le collectif tisse un travail minutieux et insolite, une cartographie sensible de communautés et des relations fines et multiples qui s’y trament.
François Gremaud, seul en scène, se propose de faire entendre l’Allegretto de la 7ème symphonie de Beethoven qu’il appelait, enfant, « la plus belle musique du monde ». Mais d’abord, afin de tenter de faire comprendre pourquoi, et surtout « de quelle manière » cette musique s’est littéralement inscrite en lui, il évoque le film dans lequel, à l’âge de 7 ans, il l’a entendue pour la première fois.
